Pourquoi un projet de territoire ?

  • Répondre aux 6 défis que rencontre le territoire
  • Donner sens à la fusion des intercommunalités
  • Permettre aux communes de remplir leur fonction première : répondre aux besoins des habitants
  • Attirer de nouveaux habitants
  • Dépasser les clivages traditionnels
  • Concilier les points de vue de chaque commune
  • Définir des champs d’intervention communs
  • Amener les acteurs à se comprendre, canaliser les énergies, coordonner les actions sur le territoire
  • Mettre en place des moyens nouveaux (financiers et humains)

Un projet de territoire autour de 4 piliers

  • un territoire actif pour attirer de nouvelles populations et développer notre économie, notre tourisme
  • un territoire vivant pour accueillir et favoriser l’épanouissement de nos populations
  • un territoire préservé pour protéger et valoriser nos richesses
  • un territoire responsable pour assurer un avenir durable à Haute-Corrèze Communauté
 

Projet de territoire : où en est-on ?

Un état des lieux posé par le schéma de cohérence territoriale (SCOT)

Porté par le syndicat mixte du pays Haute-Corrèze Ventadour, le SCOT un outil de planification qui permet de prévoir un aménagement et un développement du territoire de manière cohérente et durable.
  • Aménager harmonieusement l’espace
  • Développer économiquement et solidairement un territoire
  • Préserver les espaces naturels et agricoles
  • Assurer l’équilibre social de l’habitat, la diversité des fonctions urbaines et rurales
  • Économiser les ressources

Tels sont les grands défis du SCOT.

Éléments positifs
  • Un environnement exceptionnel
  • Une vraie identité paysagère et architecturale
  • Un territoire autosuffisant en emploi
  • Un territoire autosuffisant en énergie
  • Un taux d’équipements attractif
  • Des réseaux performants
Éléments négatifs
  • Un territoire à l’écart des influences externes sauf sur sa partie Ouest
  • Une démographie atone et vieillissante
  • Un parc de logements de moins en moins occupé
  • Des pôles qui se dépeuplent
  • Des besoins en mobilité plus importants
  • Pas de mobilités partagées